Brigitte et l’amour qui pardonne

Série Brigitte – Tome 27

Quel amour n’est amené à pardonner, à se faire pardonner ?
Brigitte aime comme au premier jour Olivier dont elle eut souvent à souffrir. A son tour, voilà sa petite Marie-Agnès heureuse avec Sylvain, le jeune mari médecin. Mais ces amateurs d’aventures demandent du travail en Afrique, au titre de la coopération : le bébé attendu y naîtra. Or une malencontreuse chute condamne la jeune femme au repos. Sylvain devra partir seul. Mois douloureux pour elle inactive, dépendante d’autrui : que fait l’absent ? Rentrera-t-il à temps pour assister à la naissance de leur enfant ?
Autre coureur d’aventures : le cousin Patrick, journaliste, parti aussi pour l’Afrique où, à la suite d’un reportage, il est accusé d’espionnage par un chef noir. Prisonnier, menacé de mort, il est aidé par Virginie, la fille du chef, qui l’admire et l’aime. Le voilà libéré, mais que sont devenus les précieux documents recueillis au cours de son reportage ? Virginie les aurait-elle dérobés ?
Revenu à Paris, il la cherche désespérément parmi les étudiants noirs dont elle fit partie.
Près de la douce Mimi, sourde rivalité entre deux adolescents : son fils et son neveu Guy, le violent, le révolté qui l’accapare. Doué d’un charme maléfique, ne met-t-il pas en danger la sensible Véronique, petite-fille de Brigitte, et qui a la généreuse illusion de lui faire du bien ?
Quant à Patrick, inconsolable de la mort de sa délicieuse maman, pardonnera-t-il à son père dont l’indifférence, l’égoïsme hâtèrent la fin ?
Tous ces coeurs souffrent et espèrent tour à tour. Le couple Roseline et Dany arrivera-t-il un jour à l’entente parfaite ? Cet excellent mari se sent menacé par les rêves de la femme qu’il chérit et par les artistes qu’elle rencontre.
Quant à Brigitte, engagée dans ses responsabilités familiales en un temps tumultueux, une joie émane d’elle et les apaise tous. Ce qui incite Marie-Agnès à dire, son turbulent petit garçon dans les bras : « Quand vous êtes petits, nos chéris, vos parents doivent bien souvent vous pardonner. Devenus grands, vous aurez peut-être à leur pardonner vous-mêmes. Mais sans amour, il n’y a pas de pardon ».